DaizyStripper donnait deux showcases durant cette édition de Japan Expo, une bonne occasion pour nous d'avoir une courte interview avec eux !
Pourriez-vous nous présenter chacun votre tour votre voisin ?
Rei : A la guitare Nao, il adore le bleu.
Nao : (En anglais) C’est Yu-giri le chanteur, groupe sanguin A.
Yu-giri : (En anglais) Lui, c’est Kazami, il est à la batterie et au piano. Il aime la musique, l’argent et les filles ! (Rires)
Kazami : Le leader du groupe, Mayu, mais également le plus grand fan de couleur rouge au monde.
Mayu : (En anglais) C’est Rei à la basse, généreux et véritable gentleman.
Si vous aviez une chanson de votre répertoire à conseiller à quelqu’un qui n’a jamais écouté votre musique, quelle serait-elle ?
Kazami : Je dirais la chanson Setsubo no Freesia, qui a été utilisée comme générique de fin de l’anime Yu-Gi-Oh.
Yu-giri : Pour moi, ce serait la chanson KISS YOU. D’une part, peut-être parce qu’il y a de l’anglais, mais aussi parce que lorsque nous l’avons chantée à Taïwan, tout le public l’a repris en chœur avec nous. Ca a été le cas également en France quand nous avons donné notre showcase. Je pense que c’est vraiment le bon exemple de chanson à écouter.
Nao : Je dirais decade ! A la fin du concert que nous avons donné, nous l'avons chantée et là tous nos fans allaient de gauche à droite dans la salle en dansant comme le riz que l’on fait frire dans la poêle. (Rires)
Rei : Pour moi, ce serait également KISS YOU, parce que ça parle du lien entre les personnes. J’aime cette chanson et je pense que grâce à elle on peut essayer de trouver un lien entre nous tous.
Mayu : STAY GOLD que l’on a utilisée en chanson de fin pour un de nos concerts. C’est parce que dans les paroles, il y a cette idée que le spectacle doit continuer. J’aime ce titre de par ce qu'il signifie, que l’on ne doit jamais abandonner et toujours continuer !
HUMALOID va sortir le 1er août. Pouvez-vous nous en dire plus à son sujet ?
Yu-giri : C’est un mini-album de six titres. Il s’agit en fait de l'histoire de six personnes qui ont chacune une vie misérable, mais qui ne se laissent pas abattre pour autant et qui veulent toujours aller de l’avant. Quand on écoute les chansons, au départ, on pense que c’est assez négatif, mais en fait ça devient plutôt positif vers la fin. Il y a cette idée de toujours aller de l’avant.
Kazami : Au niveau de la musique, c’est plutôt de l’alternatif electro rock pour ce mini-album.
Vous avez donné votre tout premier concert en Europe jeudi à Japan Expo, comment cela s’est-il passé ?
Yu-giri : Nous avons énormément apprécié les mouvements des fans, leur accueil, l’ambiance du concert. En ce qui concerne le visual kei au Japon, à 80% on retrouve un public féminin alors qu’ici c’était 50/50. On a été très agréablement surpris. De plus, c’était notre premier concert en France, et même s'il s'agissait de nouvelles chansons, en japonais, le public était là pour nous suivre et chanter avec nous.
Avez-vous un message pour nos lecteurs ?
Yu-giri : Nous voulons absolument revenir en France. Nous allons faire de notre mieux pour pouvoir revenir et nous espérons que tout le monde sera en pleine forme pour le rendez-vous et pour nous accueillir.
JaME tient à remercier DaizyStripper et son management pour nous avoir accordé cette interview