Kiyoharu - bask in art

Déjà le cinquième maxi-single pour le prolifique Kiyoharu.
Comme Layra celui-ci se décline en deux versions avec des bonus différents, une avec une reprise de Sads et l’autre avec un petit making-of sur DVD, c’est cette dernière qui est chroniquée ici.

La pochette est une nouvelle fois on ne peut plus soignée, Kiyoharu pose avec un drôle de chapeau à plumes.

Les trois pistes qui composent le maxi sont plus ou moins dans le même ton, avec un espèce de côté un peu rétro (n’étant pas assez calé, je ne m’avance pas plus) assez intéressant qui donne énormément de charme aux titres.

bask in art commence sur un riff de guitare et de batterie, le rythme se veut assez lent et répétitif mais sans être trop lassant. Le refrain revient assez souvent mais quel plaisir de chanter "bask in art" en cœur avec l’artiste.
La basse ne se contente pas de suivre tout le temps le mouvement et se détache parfois pour nous donner un peu envie de bouger.

Même topo pour la deuxième piste garret, plus rapide et peut être un poil plus dansante, avec toujours ce côté irrésistible qui vous donne envie de chanter à tue tête les "my garret" que lâche fréquemment Kiyoharu.

Pour spider’s web c’est cette fois-ci, la basse qui lance le morceau, le riff de guitare est très entraînant et sur le refrain, Kiyoharu nous démontre qu’il a vraiment une manière assez particulière de chanter les prénoms, après Layra, voici Caroline (prononcé à l’anglaise).

Le DVD making-of se laisse regarder mais ne présente pas de réel intérêt, c’est assez dommage de ne pas avoir à la place le clip ou un making-of beaucoup plus conséquent.

On a donc affaire ici à trois très bonnes pistes, pas aussi marquantes à mon goût que Layra mais quand même excellentes, surtout lorsque l’on est fan du bonhomme.
Personnellement ma préférence va à spider’s web.